• Troubles d’équilibre et de la marche (petits pas, sensation d’être collé au sol, demi-tour difficile, tendance à chuter (souvent vers l’arrière), vitesse de marche diminuée)

• Incontinence urinaire (envie d’uriner fréquente la nuit (plus de 2 fois) et/ou le jour (plus de 6 fois); envie pressante d’uriner; incontinence) 

• Difficultés cognitives (perte d’initiative, baisse d’intérêt à pratiquer une activité, difficultés à se concentrer, baisse de la mémoire récente, lenteur d’exécution)

Il est possible de ne pas présenter l’ensemble des symptômes, mais les troubles de démarche sont les plus fréquents et ceux pour lesquels le traitement peut provoquer une amélioration.

Le diagnostic débute par l’observation des symptômes mentionnés plus haut.

Puis, il est appuyé avec une imagerie par résonance magnétique (IRM), qui permet de voir précisément votre cerveau pour vérifier si les ventricules sont plus grands que la normale.

Après avoir posé le diagnostic, une investigation interdisciplinaire en médecine de jour est réalisée. 

Si les évaluations montrent que les symptômes s’améliorent après avoir enlevé du liquide, on peut alors recommander une opération chirurgicale appelée dérivation ventriculo-péritonéale. C’est une opération assez rapide faite sous anesthésie générale, généralement suivie d’une courte hospitalisation d’un ou deux jours si tout se passe bien.

• Clinique interdisciplinaire de mémoire (CIME)

• Investigation pour l'hydrocéphalie à pression normale (HPN) en médecine de jour sans médecine nucléa
• Ponction lombaire
• Résonance magnétique

• Neurochirurgie

• Carte d'hôpital
• Admission
• Stationnements
• Plans des hôpitaux