1. À l’admission, je protège la peau de l’usager en procédant à un examen de la tête aux pieds.
Vrai : lors de l’évaluation initiale à l’admission, un examen de la peau de la tête aux pieds permet de constater et de documenter les particularités de la peau ou de toute lésion, plaie ou blessure qui sont présentes.
2. Dans les premières 24 heures, je dépiste le risque de développer une lésion de pression. Combien existe-t-il d’échelles de dépistage du risque de lésions de pression au CHU de Québec-Université Laval (CHU)?
Il existe 3 échelles de dépistage du risque de lésions de pression au CHU :
• Patient de 8 ans ou plus : échelle de Braden
• Patient de moins de 8 ans : échelle de Braden Q pédiatrique
• Patient à l’unité néonatale : échelle i-NSRAS modifiée
3. Chez l’adulte, dans une unité de soins, peu importe le résultat obtenu à la première évaluation du risque de lésion de pression (Braden), la fréquence d’évaluation est de trois fois par semaine.
Faux : un Braden de 19 et plus à la première évaluation signifie un usager non à risque de lésion de pression. Aucune intervention relative à la prévention des lésions de pression n’est requise.
Mais attention! Si la condition clinique de l’usager change, la réévaluation du risque de lésion de pression doit être effectuée.
4. Lors du bain de la personne âgée, il est préférable que l’eau soit plus chaude pour éviter la perte de chaleur chez cette clientèle.
Faux : l’eau chaude risque d’assécher la peau ou d’engendrer des brûlures.

Source : MSI_I-C1-1.1 Bain au lit et I-C1-1.13 Bain au lavabo
5. Pour l’usager alité, je mets à la tête du lit l’horaire de positionnement pour favoriser le changement de position…
Aux 4 heures : avec l’amélioration de la qualité d’immersion des nouvelles surfaces d’appui, la fréquence de positionnement peut se faire toutes les quatre heures.
